Dans les rangs macronistes, des "marcheurs en colère" réclament plus de démocratie
La convention nationale de La République en marche aura lieu ce samedi 8 juillet. Un événement contesté par certains militants qui dénoncent le mode de gouvernance du parti. En marche mais pas...
PuteauxHorizon2014/2020 :
Ils n'auront pas la parole , mais ces "marcheurs en colère" ont un certain courage , ils défient sa Majesté Républicaine Macron1er et sa cour , et constatent amèrement l'absence de démocratie, le mode de gouvernance de ce parti qui se veut à très cour terme le seul à faire entendre sa voix, peut lui importe les voix dispersées d'une opposition divisée qui sont devenues de fait inaudibles.
Sa Majesté vu le bilan désastreux de la Cour des Comptes , a changé son fusil d'épaule, d'abord lever des impôts par la CSG qui visent principalement ceux qui ont travaillé tout au long de leur vie pour une retraite à peine décente pour survivre et aider souvent leurs enfants qui galèrent , sans contrepartie , la baisse des charges , on verra plus tard.
Ces marcheurs qui ont pris conscience demandent à juste titre par les promesses qui leur ont été faites "plus de démocratie participative", cette demande n'est pas novatrice "en politique" , c'est le souhait de tout citoyen engagé et militant , croyez vous que si les LR avaient sollicité leur base dans un esprit de "démocratie participative" que l'on aurait mis en place des primaires ouvertes ? Non , les militants auraient choisi leur candidat .
On ne refait pas l'histoire , il faut continuer à se battre pour nos idées , exclure tous ceux qui ont donné allégeance à Philippe Edouard , qui donnent un chèque en blanc à sa Majesté, il convient de faire encore le ménage si besoin en était, de proposer aux militants de choisir le futur patron des Républicains , de proposer également la politique intérieure et extérieure qui sera conduite , de permettre aux militants de faire des amendements , c'est cela la vie d'un parti politique, c'est la démocratie participative,
Il convient que les partis politiques, aujourd'hui, prennent conscience que leurs militants ne sont plus aux ordres , ils ont la liberté de penser, de choisir ,
Gérald Lambilliotte