24 août 2009
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Puteauxhorizon2014 : après la burqa, le burqini, a quand les écoles laiques garçons, filles , a quand les cinémas faisant la distinction entre les hommes et les femmes, on peut aller très loin , notre république a toujours été debout quelque soit l'adversaire, notre pays qui est à l'origine dela séparation de l'église et de l'état va t-il revenir un siècle en arrière en privilégiant l'intégrisme islamique comme religion au dépend de la religion coranique expliquée aux enfants et de notre propre cultures judéo chrétienne ?
Le burqini est un maillot de bain qui permet de nager tout habillé. Il est porté (quand il l'est) par des femmes musulmanes plus proches de l'intégrisme islamique .
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Source Paperblog.fr
" Une femme portant un Burqini s'est vu refuser l'accès à la piscine d'une commune de Seine-et-Marne au prétexte qu'elle voulait nager dans cette tenue. Pour porter ce burqini, elle invoque la liberté individuelle et proteste contre ce qu'elle appelle une forme d'exclusion quand le maire s'appuie sur le règlement de la piscine qui interdit les caleçons et également de nager tout habillé pour des raisons d'hygiène. S'agit-il d'hypocrisie ?
Dans les deux cas, assurément. L'une parce qu'elle sait bien que les piscines publiques et collectives ont des règles valables pour tous et toutes, l'autre parce que derrière l'hygiène se cache une autre raison moins avouée, celle de l'opposition légitime à l'intégrisme."
Puteauxhorizon2014 : La liberté individuelle n'est pas remis en cause, si on veut être intégrée dans la société quelque soit nos origines ethniques, nos appartenances politiques et religieuses, il convient de respecter les lois qui nous gouvernent .
quand cette personne évoque une certaine forme d'exclusion, c'est plutôt une forme d'auto exclusion , c'est une attitude volontairement provocatrice à l'égard de la République française.
Non notre république ne doit pas avoir peur de ces intégristes religieux désireux de pousser la République laïque dans ses retranchements.
La République ne doit pas se mettre à genoux, j'ose espérer que notre pays ne cédera pas devant ces gens que je juge dangereux pour notre démocratie,
Gérald LAMBILLIOTTE